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Réinventer sa gestion financière avec l’IA et l’analytics

Dirigeants et DAF misent sur l’IA prédictive et l'analytics pour obtenir des données utiles pour la gestion financière de l'entreprise.

Réinventer sa gestion financière avec l'IA et l'analytics

Parce qu’une donnée brute n’a aucune valeur ajoutée, l’IA (Intelligence Artificielle) permet une meilleure gouvernance de la data, mais aussi de s’assurer d’être en conformité légale et d’avoir accès à des insight stratégiques inédits. En épargnant aux collaborateurs les tâches répétitives et à faible valeur ajoutée, l’IA les recentre sur leur cœur de métier, là où leur expertise et l’intelligence humaine font toute la différence. Enfin, l’IA offre une meilleure efficacité opérationnelle à toute l’entreprise, menée par des dirigeants mieux éclairés et maîtrisant leur environnement.

IA et gestion financière : contexte et opportunités

Trésorerie, demande, croissance, investissements… : en 2024, nombreux sont les sujets de préoccupation pour les dirigeants d’entreprise. Pour anticiper et sécuriser leurs finances, ils sont – et notamment les dirigeants de PME/ETI – de plus en plus nombreux à faire confiance aux nouvelles technologies.
À condition que celles-ci apportent une vraie valeur ajoutée et ne se contentent pas d’accumuler des données certes nombreuses, mais inexploitables. En 2024, les dirigeants et DAF misent résolument sur les technologies qui, à l’image de l’IA prédictive, ne leur promettent pas tant « plus de données » que des données vraiment utiles.

2024 : quels enjeux pour les dirigeants et DAF ?

Après une année 2023 marquée par un fort contexte inflationniste, les dirigeants des entreprises françaises font preuve, pour 2024, d’un optimisme mesuré, selon le Baromètre Bpifrance Le Lab – Rexecode. Tous les yeux sont rivés sur la gestion financière des entreprises, qui devrait s’imposer comme un enjeu incontournable en 2024.

Sur le front de la trésorerie des entreprises, le premier trimestre 2024 est ainsi synonyme d’une légère amélioration, due pour partie au recul des délais de paiement de leurs clients et, pour l’autre, au début de détente observé sur les conditions de financement. L’accès au crédit représente toujours un frein pour les dirigeants, mais de manière un peu moins saillante que l’année dernière. Toujours au chapitre des bonnes nouvelles, les tensions sur les approvisionnements continuent de s’atténuer, même si celles-ci concernent toujours une TPE/PME sur quatre.

Les autres indicateurs sont, en revanche, plus alarmants. À commencer par la demande, dont la faiblesse – actuelle
comme anticipée – continue d’inquiéter la moitié des dirigeants de TPE, PME et ETI, et de contraindre négativement leur activité. Pour la première fois depuis 2017, la faible demande se hisse ainsi en tête des préoccupations des dirigeants pour les temps à venir, devant les difficultés de recrutement et les prix élevés.

Enfin et surtout, c’est sur le front des investissements que les craintes demeurent les plus vives. En 2024, les petites et moyennes entreprises françaises prévoient, en effet, de réduire significativement leurs investissements, seuls un peu plus de la moitié des dirigeants (51 %) comptant, en effet, investir cette année, contre 56 % l’année dernière. Des inquiétudes nuancées par le fait que près d’un dirigeant sur deux (47 %) affirme son intention d’investir en faveur de l’environnement, un sujet désormais central dans leur réflexion.

Faisant donc preuve de prudence dans un contexte qui demeure, après plusieurs années de crises (Covid-19, guerre en Ukraine,inflation, etc.), particulièrement volatil, les dirigeants des entreprises françaises sont plus de quatre sur dix (42 %) à anticiper une réduction de leur marge nette en 2024, la même proportion (41 %) s’attendant à une stabilisation de celle-ci.

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